Le moi dans l'oeuvre de Freud et la corporalité

Auteurs

  • José Otávio de Vasconcellos Naves Pontifícia Universidade Católica do Rio de Janeiro
  • Terezinha Féres-Carneiro Pontifícia Universidade Católica do Rio de Janeiro

DOI :

https://doi.org/10.1590/S0103-65642007000300003

Mots-clés :

Moi, Perception, Conscience, Relation interpersonnelle, Corporéité

Résumé

Le présent travail conjugue le concept du moi dans l'oeuvre de Freud et celui de corporéité chez Merleau Ponty, de façon à permettre un parcours théorique où le corps peut être entendu dans une perspective intersubjective. La corporalité, la "chair" de chacun, lancée au monde, se retrouve dans la "chair" de l'autre, également lancée au monde, pour réeffectuer, dans la relation, un échange expressif, inconscient, mais qui, sans la conscience d'un corps subjectivé, perd ses possibilités en tant qu'échange et expression. Le découpage chez Freud s'initie avec les concepts du moi plaisir et du moi réalité, en parcourant la question des idéaux où se concrétise la possibilité de penser les relations du moi avec l'autre. Ces concepts, mis en parallèle avec l'oeuvre philosophique, apportent un support à la clinique psychanalytique.

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Publiée

2007-09-01

Numéro

Rubrique

Artigos Originais

Comment citer

Le moi dans l’oeuvre de Freud et la corporalité. (2007). Psicologia USP, 18(3), 31-54. https://doi.org/10.1590/S0103-65642007000300003