Banja de Majakovskij entre profane et sacré

Autores/as

  • Gérard Abensour Institut National des Langues et Civilisations Orientales

DOI:

https://doi.org/10.11606/issn.2317-4765.rus.2014.88706

Resumen

On trouve au moins trois traductions différentes de Banja, titre de la pièce de Majakovskij : Les Bains, La Grande lessive, Les étuves. Comment rendre le sens de cette institution rurale mystérieuse ? Lieu de purification, de renaissance, de naissance et de mort, abri d’un esprit malfaisant. A la suite de Khlebnikov, qui meurt dans une banja, Majakovskij , domestique le temps, pour dominer le présent. Sa Femme phosphorescente vient, comme dans l’Apocalypse pour sauver les Justes et punir les méchants. Il cache son angoisse existentielle derrière le rire, le burlesque et la satire. Satire contre les dignitaires soviétiques qui précède de peu son suicide en 1930.

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Biografía del autor/a

  • Gérard Abensour, Institut National des Langues et Civilisations Orientales
    Professeur émérite Institut National des Langues et Civilisations Orientales (INALCO)

Publicado

2014-12-22

Número

Sección

Artigos

Cómo citar

Abensour, G. (2014). Banja de Majakovskij entre profane et sacré. RUS (São Paulo), 4(4), 1-9. https://doi.org/10.11606/issn.2317-4765.rus.2014.88706