La sémiotique de la sculpture

Résumé

Apparemment, la sémiotique narrative et discursive proposé par Greimas et autres collaborateurs a, au-delà de sa vocation théorique, tendence d’être testée dans applications analytiques dans les plus variés types de discours et systémes de signification. Depuis les premiers études de divulgation scientifique, ça peut être verifié : dans Introduction à la sémiotique narrative et discursive, par J. Courtés, il y a des analyses des contes de fé, plus precisement, du Cendrillon ; dans Sémiotique de la narrative, par N. Everaert-Desmedt, il y a des analyses des Labyrinthes de Miroirs et Trains Fantômes des parcs d’attactions. Or, cette vocation, dans l’étude des arts plastiques, sans aucun doute, est-elle bien representé par Jean-Marie Floch, l’un de ses plus créatifs représentants ; Floch est connu par ses applications de la sémiotique dans les études de cinema, du théatre, de la peinture, de la photographie, de la bande desinée, de l’architecture, du discours publicitaire, etc. En que concerne l’analyse de l’esculpture, comparée à l’analyse des autres systémes de signification, peu a été dit. Ainsi, avec l’objectif de combler ces lacunes, ce travail veut appliquer la sémiotique à l’analyse de l’esculpture dans deux fronts différents: l’esculpture en tant que texte ; l’esculpture en tant que objet de valeur.